Autres écritures possibles
(Changement de nom ; texte en latin, roman, occitan ; erreurs de transcription...)
Tour des Anglais
 
Sources d'information
1. Cadastre napoléonien (Archives départementales de la Lozère) :
Saint Jean-la-Foulhouse, section C, dite du Cellier, 1ère feuille, parcelle 248, plan de 1828.
 
2. Monographies communales de Saint Jean la Fouillouse (Archives départementales de la Lozère) :
Le 25 juin 1862, l'instituteur Combe (Villaret) évoque le château : "Et on voit aussi au village de Cellier la tour féodale qui est devenu aujourd'hui monument national, c'était l'endroit ou le Seigneur faisait mettre en prison ou les officier ceux qu'on voulaient mettre en détention et que depuis la révolution de 89 est devenu monument public, il ni sy trouve que les murs élevès d'environ 40 mètres d'hauteur, au dessus de sol, en carré parfait de 8 mètres de chaque côté, ou 64 centiares." (texte original)
En 1874, l'instituteur E. Conat évoque le château : "On remarque ensuite au Cellier une tour carrée très-ancienne qui domine le village. Elle mesure environ 18 mètres de hauteur sur une base de 10 mètres de côté. L'épaisseur des murs est de 1 met 80. Les quatres murailles sont seules debout ; le toit, les planchers, le manteau de la cheminée, les pierres de taille de la porte ont été enlevés. On reconnait aisément cependant que il y avait 4 étages et le rez-de-chaussée, à cause des retraites pratiquées aux mur sans doute pour soutenir les planchers [...]" (texte original)
 
3. Les Archives départementales de la Lozère possèdent des photos de la tour.
 
4. Sur cette page, vous pouvez lire un extrait d'une description de la tour, faite en 1860 par l'abbé Baldit.
 
5. Mémoires historiques sur le Pays de Gévaudan et sur la ville de Mende, qui en est la capitale (pour servir au dictionnaire universel de la France / par le Révérend Père L'Ouvreleul, Prêtre de la doctrine chrétienne, directeur et professeur de théologie morale du séminaire de Mende / Nouvelle édition, chez J. J. M. Ignon, imprimeur-libraire / Mende, 1825)
Le Père L'Ouvreleul y cite en p. 25 le château comme étant encore en bon état en 1724.