Quelques informations
Ce château se trouvait jadis sur les hauteurs du hameau de Bonnetés.
SOS  Je ne suis pas certain de la localisation précise de ce château aujourd'hui disparu et j'ignore s'il en reste encore quelque trace.
Si vous possédez des informations pouvant m'aider, je les accepterai avec plaisir.
Cliquez sur l'enveloppe dans le cadre du bas pour m'envoyer vos informations et/ou photos.
 
Autres écritures possibles
(Changement de nom ; texte en latin, roman, occitan ; erreurs de transcription...)
Bonnetès, Bonnétes
 
Sources d'information
1. Cadastre napoléonien (Archives départementales de la Lozère) :
Le Bleymard, section B, dite du Bonétes, feuille unique, plan de 1819.
 
2. Monographies communales du Bleymard (Archives départementales de la Lozère) :
Il n'est pas fait mention du château dans les monographies communales rédigées par les instituteurs en 1862 et 1874. Si vous voulez tout de même les lire, c'est par ici.
 
3. Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790 (Lozère - Archives ecclésiastiques - Série G (nos 1-1451) - Tome 1er/ par Ferdinand André, archiviste / Imprimerie typographique de C. Privat, Mende / 1882 / p. 47 et p. 203)
 
4. Sur le site loubluma, dédié au Bleymard, on peut trouver une page d'histoire sur laquelle il est fait mention du château.
Une monographie de Léon Denisy, commissaire de police à Marvejols, écrite entre 1860 et 1880, parle du château. Sur une reproduction des pp. 38 à 40, on peut lire ceci : "...n'offre rien de remarquable que les ruines d'un vieux château qui le dominait et dont la seigneurie appartenait à la famille de Sabran de Montferrand, au XVIe siècle. Claude de Sabran, bailli du Gévaudan, en était seigneur, en même temps que des Alpiers en 1546" ... "Le château de Bonnetès ne fut pas oublié par les soldats de Merle et du baron d'Alais au XVIème siècle. Il résista, néanmoins, à leurs attaques réitérées, malgré les efforts inouis de ces ennemis puissants et acharnés qui, après avoir vainement essayé de tous les moyens, l'abandonnèrent avec quelques brèches faites à ses murs et le pillage de ses bâtiments accessoires. La révolution de 89, non seulement le ruina, mais encore vendit ses vestiges et dépendances au profit de la Nation. Depuis lors il ne s'est plus relevé de ses ruines et sert de bâtiment à une ferme qui s'y est formée depuis." (Je ne dispose malheureusement pas des références bibliographiques de l'ouvrage.)